L'hypertension est une dérégulation du bon fonctionnement du corps qui ne doit être prise à la légère car ses conséquences peuvent être graves. Il faut donc consulter. Mais, si celle-ci est légère càd une tension autour de 13-14, il y a des moyens naturels qui peuvent la réguler. En voici quelques-uns.

Les plantes qui font baisser la tension sont lprincipalement 'olivier, l'ail, la lavande, la marjolaine, la verveine et la prêle. On peut les prendre en tisanes en alternance selon les goûts ou en gelules pour plus de concentration.

Il est bien aussi de manger des algues fraîches ou réhydratées ou en poudre saupoudrée sur la soupe et les plats. De la levure de bière est aussi très bénéfique.

En gemmothérapie, on peut se procurer de l'olivier à la pharmacie et en prendre 20 gouttes dans un peu d'eau tous les jours ou plus selon la posologie du flacon.

En lithothérapie, on peut commander en pharmacie de l'azurite ou du batytine. Une cure de 30 ampoules de 1ml en 8ème décimale.

Tout cela est sans effets secondaires et n'agit que s'il y a tendance à l'hypertension. Toutefois, bien des facteurs peuvent influencer celle-ci dont le manque d'exercice, le surpoids, l'âge ou des facteurs héréditaires.

A voir avec son naturopathe.

Comme vous l'avez sans doute constaté, je n'ai pas assez de temps disponible pour poursuivre régulièrement ce blog.

Ceux qui veulent plus d'informations peuvent prendre contact.

J'alimenterai de temps en temps par des articles sur un sujet intéressant.

Nous avons parlé de toxémie. Il est un fait, c'est que nous vivons tous avec des microbes à longueur de vie et qu'ils attaquent seulement en nombre quand la toxémie est bien installée. Ils aiment proliférer sur les déchets. Il existe donc un état de maladie sous diverses formes.

Alors que faire? Il y a deux attitudes privilégiées: d'abord économiser l'énergie vitale et donc se reposer dans tous les domaines, ensuite créer de l'énergie vitale, donc pratiquer un repos physiologique. C'est ainsi que nous en arrivons aux cures dépuratives et au jeûne.

Il est plus important de priver les microbes de nourritures que de les chasser. Ils meurent ipso facto et c'est moins violent. Or, la médecine courante fait exactement le contraire. Puisque l'aliment est le principal élément qui crée de l'énergie vitale, il doit donc être de qualité.

CURES OU JEUNE?

Avant de donner des exemples pratiques de cures et de voir leurs bienfaits, il faut faire sauter quelques idées fausses concernant le jeûne. Cures et jeûne ne sont pas comparables. Si possible, il est toujours recommandé de commencer une cure par un jour de jeûne. Celui-ci a de grands bienfaits prouvés et la plupart des gens qui sont radicalement contre n'ont sans doute jamais sauté un repas de leur vie.

A suivre

Le but d'une vie saine est d'atteindre le niveau de toxémie le plus bas possible et donc d'accroître la quantité de force vitale dont nous disposons. Cela détermine notre sensation de force ou de faiblesse.

Quand l'énergie vitale est trop sollicitée pour éliminer (déjà 75% pour la digestion), elle devient insuffisante dans notre corps et on peut atteindre alors un état d'énervation où les fonctions vitales ne s'accomplissent plus qu'au ralenti. Cette énervation peut aussi être atteinte par le stress, des facteurs psychologiques, des traitements médicaux lourds, le fameux état de burn out.

Quand l'énervation s'installe (donc une réduction d'énergie vitale), les fonctions se ralentissent et l'éliminationse fait encore plus lentement. Un cercle vicieux. La toxémie s'accroît encore et le corps déclenche une crise d'élimination ou maladie, avant que la toxémie n'atteigne le corps entier.

Il est donc important d'être attentif aux symptômes et de ne pas vouloir à tout prix les éliminer. Ils sont un bon indicateur. Le mal de tête par exemple est le signe d'un dysfonctionnement, un eczéma aussi et bien d'autres. Il faut d'abord trouver la source.

A suivre

Nous parlions récemment de toxémie. Une toxémie exogène est plus ou moins facile à cerner. Elle est due à la pollution, le tabac, l'alcool, le café, et pas mal d'autres "drogues". La toxémie endogène est plus difficile à cerner. Elle dépend des capacités de la cellule à faire passer les déchets dans la lymphe et le sang et donc du métabolisme de chacun.

Nous avons tous un degré de toxémie avec lequel nous vivons. Quand nous passons notre seuil de tolérance, variable chez chacun, elle devient insupportable. Ce seuil de tolérance est peu élevé chez les enfants mais s'accroît avec l'âge. Il dépend aussi de facteurs héréditaires et du mode de vie.

Les intestins et la vessie sont les deux organes principaux d'élimination. S'ils fonctionnent mal, un autre organe va prendre la relève car les toxines vont y être transférées.

A suivre

Nous allons cette semaine parler des cures dépuratives. Mais d'abord, il est nécessaire de rappeler les bases de l'hygiène vitale et le pourquoi de la maladie et des déséquilibres.

Un état de "bonne santé" est le résultat harmonieux des activités du corps. C'est en principe notre état normal. Quand nous suivons des normes d'existence naturelle, on parle de bio-santé, en harmonie avec nos besoins et l'environnement. Toutefois, en fonction de celui-ci et surtout de nos agissements, cet état est instable. Quand des troubles perturbent durablement cet état d'équilibre, on parle alors de maladie. Un moindre mot est celui de déséquilibre que nous devrons corriger. Les cures dépuatives peuvent jouer ce rôle.

La maladie ou les signes de déséquilibre sont en fait des moyens mis en oeuvre par le corps pour remédier à une situation qui risque de devenir très dangereuse pour lui à terme. Elle essaie de libérer l'organisme d'un état anormal et elle est donc bénéfique. Mais allez dire au commun des mortels qu'il est bon d'être malade!

Même les médecins essaient d'abord de supprimer les symtômes, le plus vite et le plus radicalement possible au lieu de modifier d'abord les causes profondes. Or, tout symptôme, même bénin, est un indicateur, un signal d'alarme. La migraine est un bel exemple.

Notre corps possède une force vitale. Comme on ne la voit pas, tant que tout va bien, c'est un peu comme si elle n'existait pas. Les cheveux poussent, les os se réparent, la peau cicatrise, etc. Mais comment s'exprime cette force vitale?

Dans l'infiniment petit, elle se concentre dans la cellule. Nous avons environ cent miliards de milliards de cellules à la fois nerveuses, sanguines, musculaires, etc. Chacune dans leur espèce a des propriétés qui lui permet d'absorber les nutriments, de croître, de se reproduire, de rejeter les déchets. Ces derniers sont véhiculés par la lymphe et le sang. Les cellules doivent aussi respirer. Leurs deux fonctions principales sont donc de respirer et d'éliminer les déchets qui les encombrent. Ce sont ces deux fonctions qui assurent principalement la force vitale.

Alors, quand ça va mal, pourquoi? Quand les cellules ont trop de déchets à éliminer, cela leur devient difficile. Elles vivent alors dans un milieu toxique et meurent. C'est ce milieu d'intoxication qui est appelé toxémie.

Demain, nous verrons qu'elle peut être causée par des facteurs externes et internes.

A suivre

Lorsque l'enfant est là et qu'une petite routine s'est installée (en espérant qu'il ne nous a pas empêchée de dormir trp longtemps), il est important de se reconsidérer avant tout comme une femme. Le père est là aussi et il attend...

Pour aider l'enfant à faire une nuit complète rapidement, il est très simple de jouer sur les deux prises de repas tard et tôt. Ainsi, si le dernier repas est vers minuit, chaque semaine donner le repas un peu plus tôt pour arriver rapidement vers 21-22 heures. Le matin si on en était à 4 heures, attendre un peu plus chaque semaine pour arriver à 7 heures environ. Cela permet de dormir et de récupérer. L'enfant ne s'en aperçoit presque pas et cela lui apprend à attendre un peu sans nous soumettre à ses caprices.

Mais surtout soignons notre corps car une grossesse non préparée et mal soignée laisse des traces irréversibles. Trouvons avec notre naturopathe le nouveau mode de régime alimentaire qui nous conviendra, faisons un peu d'exercice et surtout ayons la bonne approche psychologique au milieu de ce bouleversement familial et personnel. Retrouvons le désir sexuel, soyons séduisante, active et surtout apprenons à garder du temps pour nous seule, pour nous ressourcer.
On ne donne rien de positif si on n'est pas soi-même en harmonie. L'enfant le sentira lui aussi, même si cela implique de lui accorder moins de temps mais plus de qualité.

Si cela ne fonctionne pas (et cela arrive), faisons appel à une personne qui pourra nous aider. Je pratique depuis longtemps la psychologie comportementale avec de bons résultats en complément de la naturopathie.

Il y a bien sûr les exercices d'accouchement sans douleur, dans l'eau et bien d'autres. Les ayant tous testés personnellement en accompagnant des patientes, je reste (étant anti-anesthésie et médicaments) exceptionnellement pro-péridurale. Cela ne fait mal que quelques instants pour la piqure dans le bas du dos et ensuite on peut profiter pleinement de la naissance en voyant naître son enfant sans souffrances (ou presque).

Un mois avant la naissance prévue, on prendra en homéopathie actea racemosa et du caulophyllum, à se faire prescrire. La veille si possible de l'arnica 12CH et pendant l'accouchement du nux vomica et du belladona. A voir avec son naturopathe.

A suivre

Il y a des plantes qui sont néfastes à la grossesse et d'autres au contraire favorables. La verveine est une excellente plante qui accroît la lactation et prépare à l'accouchement. Attention: la sauge est à éviter. Elle arrêtera la lactation ou l'empêchera.
Le fenouil accroît la montée de lait, le cumin, l'anis et le carvi sont bons. Pas de bourdaine ni de busserole.

Il est très important de ne pas prendre des antiépileptiques, des corticoïdes, de l'iode, des anticoagulants ou des diurétiques. Le viburnum est un bon anti-abortif en gemmothérapie si on a eu des expériences en ce sens.

Une séance de sauna par semaine sera bénéfique si on la supporte.

Côté aliments, un naturopathe vous prescrira ce qui vous convient. Je privilégie le régime semi-végétarien avec oeufs et poissons, du soja bio. Si vous ne pouvez pas allaiter, le lait de soja est beaucoup mieux toléré par le bébé (préparation en pharmacie), j'en ai fait souvent l'expérience et l'enfant se porte mieux sans ces maladies bénignes à répétition.

Chacun a ses carences, sa constitution spécifique. Il vaut mieux demander conseil à un "vrai" naturopathe pour un régime approprié.

A suivre

Nous avons vu hier les précautions à prendre pour se prémunir contre les vergetures. Mais, une grossesse, cela fait aussi "tomber" les seins, qu'on allaite ou pas. Ils ont doublé de volume et ont du mal à retrouver leur fermeté avec le retour à la normale. Que faire?

La solution la plus efficace est de se doucher les seins à l'eau froide matin et soir; Pas drôle, je sais mais...Ensuite les masser avec un produit à base d'écorce de grenade ou à base d'huile de rose ou de millepertuis. Je prépare divers mélanges raffermissant.

Si le petit bout est allaité et que des gerçures apparaissent (cela peut être très douloureux), il est important d'agir rapidement pour éviter les crevasses qui empêcheraient l'allaitement. Il faut préparer une décoction concentrée de millefeuille (plante) et faire des compresses répétées. L'huile d'avocat est un bon cicatrisant ainsi que le peuplier.

A suivre.